...«Vingt vingt-et-un sera une année d’espoir» (Alexander De Croo, 18.12.2020). [Premier de notre beau pays, j’espère surtout que tu ne me racontes pas des carabistouilles parce qu’avec l’année que nous venons de passer, je ne suis pas certaine d’avoir envie de repartir pour un tour.]
Chers membres,
2020 (prononcez «vingt vingt») a été une année compliquée, houleuse, emberlificotée, confusionnante, difficultueuse... Bref, une année de bouse. La bonne nouvelle, c’est qu’elle est bientôt terminée.
Le bilan sportif à mi-parcours sera vite fait : quasi-pas de matches, quelques victoires devant une foule pas-en-délire-du-tout-puisqu’interdite, pas de verres d’après-match, pas de kippenboutjes, pas de cacahuètes et encore moins de «arrgh, 3-11, c'est rageant, j’étais pourtant à deux doigts de gagner ce set».
Donc, pour faire court, pas grand-chose à dire sur «vingt vingt», si ce n’est que la lumière nous attend au bout du tunnel (ça aussi, c’est Alexander qui l’a dit).
Il est encore beaucoup trop tôt pour savoir si «vingt vingt-et-un» se déroulera en essentiel, en distanciel, en confinementiel, en espérantiel ou en laissezmoisortirdiciel, mais pourvu que l’an neuf nous épargne le mode «démerdentiel» (néologisme élu mot de l’année à l’unanimité de moi-même) auquel nous avons tous été confrontés cette année.
Passez de bonnes fêtes sous le signe du prudentiel. Et n’oubliez pas de garder vos distances, les mains propres, le masque, le sourire et le moral puisque «Vingt vingt-et-un sera une année d’espoir».
Allez Hurricane !
#Staysafe
Sophie
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