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Jamais deux sans trois

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Dimanche 21 mai

- 21h30: C'est une belle après-midi que nous venons de vivre là. La troisième édition du tournoi des familles s'est bien déroulée et le drink qui a suivi était bien arrosé. Tellement d'ailleurs que j'ai la tête qui tourne et les idées en sapin en ce dimanche soir. Vu mon état, je me contente de télécharger les photos dans l'album du tournoi, j'écrirai l'article demain, après une bonne nuit de repos et de dégrisement.

- 23h00: Taille-moi les hanches à la hache, j'ai trop mangé de chocolat. Mon taux de glycémie part en sucette, et moi avec. Morphée, où es-tu? I can't get no sleep (Insomnia).

Lundi 22 mai

- 6h00 du mat': Je me lève. Et je te bouscule. RHAAA mais qu'est-ce que c'est?!? Ah, ouf, ce n'est que mon reflet dans le miroir, tout va bien. Je demande à George s'il veut bien me préparer un petit café. Pas de réponse... Malpoli. Mais dis donc, c'est que le soleil est de la partie, encore un peu et l'ami Ricoré viendrait presque frapper à ma porte (George, si tu reviens, je vire Ricoré).

- 6h20: Scrontch scrontch petite biscotte, viens ici que je te grignote. Tiens, je rêve ou j'ai rêvé du chocolat de Jérôme Grimonpon? Sacré Jérôme qui, pour la deuxième année consécutive, a ébloui nos mirettes en plus d'avoir ravi nos papilles avec ses magnifiques prix. Comme quoi, ne devient pas artisan chocolatier qui veut. Merci à lui pour les superbes médailles et autres balles de ping pong en chocolat (*).

- 8h10: J'arrive au travail et je commence à travailler (ce compte rendu fourmille d'infos intéressantes, c'est dingue).

- 12h30: J'ai faim, il fait trop beau, je quitte mes quatre murs et prends ma pause déjeuner souuuuuuus le soleieiiil. Mon article est loin d'être prêt et je dois déjà retourner bosser.

- 19h30: Journée éreintante, je dois encore faire des courses. Et ces tendres petits vieux qui pensent qu'aller au supermarché en semaine après 18h00 est un événement social. Et bien non, nee, NEIN!, cela n'a rien de social, c'est une entrave à la libre circulation des travailleurs! Je fais un sit-in mental devant l'entrée et commence à bouder.

- 20h30: Je rentre chez moi. J'allume des bougies, je fais brûler de l'encens, j'entre en méditation de pleine conscience (pleine conscience du bruit de mes voisins surtout) et je commence à ouvrir mes chakras. Inspiration, es-tu là?... Oui? Non?...

- 21h45: Je me lance. Enfin. "Haaaa... Le tournoi des familles... LE tournoi des familles... Non mais LE tournoi des familles, quoi..."

"Trouvaille tellement géniale" [non, ça, je l'ai déjà écrit il y a deux ans]. "Ambiance de folie" [bis repetita]. "Jeunes et moins jeunes", "merci à tous", "bravo aux gagnants" [pfff, c'est même pas original. Zut, j'ai oublié d'acheter du fromage.]

"Véritable succès" [ils le savent déjà sinon ils ne reviendraient pas]. "Super organisation de Stéphanie et Michel" [ben oui, bien sûr, comme d'hab. S'ils pouvaient se planter l'année prochaine ces deux-là, que j'aie au moins un truc un peu rigolo à développer.]

"Le tournoi des familles, plus qu'une tradition, une vraie rencontre des générations mêlant sportivité et bonne humeur"? [mmouais] "Le tournoi des familles, le tournoi des gastronomes en culotte courte"? [Borffff...]

- 23h00 (et 13 Malabar plus tard): Bon, les amis, aux grands maux les grands remèdes:

"Chers membres, le tournoi des familles s'est déroulé hier et tout s'est très bien passé. Si vous avez raté ça, c'est que vous aviez certainement autre chose à faire mais c'est quand même tant pis pour vous. Quoi qu'il en soit, les nombreuses personnes présentes se sont bien amusées. L'album de cette belle journée est disponible sur notre page Flickr. Qu'on se le dise, le tournoi reviendra, rendez-vous donc l'année prochaine pour la quatrième édition. Merci de votre attention."

- 23h01: Je boucle et je clique sur "publier".

Et voilà, ce n'était pas plus compliqué que ça, il suffisait d'y penser. :)

Allez Hurricane !!

(*) Si, comme moi, vous aimez les gourmandises de Jérôme Grimonpon, je vous encourage à "liker" sa page Facebook. Et croyez-moi, "liker" et "Facebook" dans ma prose, c'est un exploit (ceux qui me connaissent et savent mon aversion pour ce réseau social ne me contrediront pas).